C'est un livret (15 x 21 cm) de 32 pages + un feuillet A6 (fenêtre sur le ciel en page charnière). Impression numérique. Relié et façonné à la main en 50 exemplaires numérotés. Son prix est de 12 euros (+ frais d'expédition).
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pour passer commande : éditionsdutempsquipasse@gmail.com
Enveloppées d'une couverture vichy (dans un esprit "fac-similé" fidèle au cahier dans lequel reposent leurs brouillons manuscrits) je vous invite à découvrir les paroles de mes chansons. Entre ciel et terre, elles dansent et défilent sur les lignes d'une portée visuelle. (La vague électro acoustique qui l'accompagne est à venir : un album CD est en préparation !).
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Pascale E. est mon nom de chanteuse.
À un an jour pour jour les 400 exemplaires ont tous été vendus !
C'est un franc succès pour ma petite maison d'édition et Catherine Charmoy et moi-même sommes actuellement en recherche d'un nouvel éditeur — une plus grande maison d'édition associée à un distributeur — qui voudra bien reprendre "ce flambeau" : c'est à dire ré-éditer notre livre.
C'est un livre illustré de 88 pages accompagné d'un CD.
Premier tirage à 400 exemplaires numérotés. (Format : 14,5 x 20 cm).
(ci-dessus, présentation déployée de la couverture + rabats / R°V°. Avec le CD posé en 4ème de couverture)
Vidéo-galerie 1 de mes "chemins de Faire" : Me rendre chez l'imprimeur à Liège, depuis la maison natale.
"Grand livre" de par sa proposition inhabituelle au cœur des éditions du Temps qui passe et cette rencontre avec Catherine Charmoy, qui m'a donné l'idée, puis l'envie de faire un livre pour témoigner de son travail.
Une sorte de nécessité en ce temps que traverse le monde.
Avec ensuite, très vite, le désir d'éditer cet ouvrage.
Et puis la question de l'oralité, de la voix, s'est également imposée…
Vidéo-galerie 2 de nos "chemins de Faire" : Nous rendre au Mas Rouge, à Lattes près de Montpellier (dans les parages du pays de Catherine) pour l'enregistrement du CD.
(double page extraite du bulletin de souscription)
(Maquette en cours / prototype pour tester l'impact des rabats, de dos, de face ; ouverts, fermés, sur les pages, le possible des associations visuelles).
étapes de travail : de l'élaboration du chemin de fer, aux recherches diverses - croquis lors des stages, illustrations-lavis, principes de mise en page, recherches typographiques… - à l'exécution sur ordinateur.
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Avec les temps que nous traversons et par les temps qui courent…
Il est plus qu'heureux d'offrir de belles choses en soutenant les "petits" créateurs. Pour vos présents de Noël, si vous cherchez une boutique unique aux propositions éclectiques, ne cherchez plus ! :
pour en savoir plus lire l'article du cyber-carnet
Pour en savoir davantage sur ces ouvrages, descendre plus bas dans le fil des événements (Automne 2018).
Pour ce troisième album, j'ai à nouveau apporté ma contribution typographique (titrages manuscrits des 1ère et 4ème de couverture ainsi que la mise en page de l'histoire).
Oh Yeah !
Toutes les infos : ici — et ici aussi .
En quelques images : esquisses, recherches de mise en forme et en page.
Puis : coupe, plis et assemblage des feuillets avant les coutures de la reliure.
Le Temps qui passe filera avec ses dernières publications : des petits livres, toujours façonnés à la main, en exemplaires numérotés. Des petites histoires légères et combinatoires. Légères comme l'automne dans sa chute naturelle.
Ces petits livres — exemplaires numérotés — sont vendus 5 euros pièce.
Je vous invite à venir découvrir le "livre/journal" du compositeur.
J'y ai travaillé, depuis la mise en œuvre de la création musicale de Nicolas Frize avec des lycéens et collégiens de la Plaine Saint-Denis et des musiciens professionnels — (suivie en reportage dessiné > lien vers l'article sur le cyber carnet) — jusqu'à la mise en forme et en page de l'ouvrage.
Voir le travail réalisé pour la communication des concerts > lien vers l'article sur le cyber carnet
Le livre est diffusé par les éditions de l'œil. > lien vers le livre.
Et le lendemain, je partirai à Guéret (dans la Creuse) pour suivre en reportage dessiné les quinzième Rencontres de Chaminadour, consacrées cette année à Victor Hugo.
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Ci-dessous, extraits de mon carnet 2017
À paraître aux éditions du Seuil Jeunesse au printemps 2020.
Fort de cette complicité dans la mise en forme des publications éditoriales, j'apporterai à nouveau ma contribution typographique à ce troisième album.(Titrages manuscrits de couverture et mise en page du texte).
En quelques images, les étapes de travail (des esquisses de recherche au contrôle des chromies).
Émile le crocodile a très bonne presse, le voici en bonnes compagnies entre Monsieur Hulot et Le petit Nicolas… en vitrine de "Litote en tête" la librairie de notre quartier, dans le Xè arrondissement de Paris.
Alors ici, au "Temps qui passe", on a la tête dans les nuages.
"Elle se tenait sur la grève quand je l'ai vue pour la première fois".
Les livres sont limités à cinquante exemplaires, ils sont numérotés selon le rituel manuel du temps qui passe ou du temps passé.
C'est l'élan d'un récit en fragments qui aspire à un corps de roman cormoran… vers une langue lagune ?
(des phrases-titres sur les tranches, au dedans, au dehors)
"Et dans ma recherche à placer le mot juste,
je passe de l'éblouissement à l'obscurité, de l'obscurité à l'éblouissement."
Avec des îlots typo-carto-graphiques
… pour mesurer l'étendue de l'archipel ?
La poursuite d'une matière text'îles… (tournée, retournée… en boucles).
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[Chaque ouvrage coûte 20 euros. Format fermé : 10,5 x 15 cm
format ouvert : très déployé à l'image des vagues
(les couvertures sont façonnées en plis roulés)].
Des nouveautés et des réimpressions : "Sortez de la signalisation routinière" continue de tracer la route !
J'apporte ma contribution typographique (titres manuscrits et mise en page) aux albums de Benoît.
Des petits poèmes en rose(s).
Des impressions de pensées parfumées qui constituent tout un vherbier.
Des exemplaires uniques, à envoyer, à coller aux fenêtres ou que sais-je encore ?
PaGe = Pascale Evrard + Geneviève Favre Petroff
Merci à Delphine (notre journaliste préférée) pour la photo.
Voici quelques double-pages de mon carnet :
(pour lire l'article éphéméride sur le blog du Temps qui passe cliquer ici)
La Loire n'est pas un long fleuve tranquille…
Trois petits tours en Touraine au Château du Rivau…
Et pour le festival du Mot :_La recherche du temps perdu _
sur le trottoir de la Grande Rue de la Charité-sur-Loire
Pour lire l'article consacré à cet événement (sur le blog du Temps qui passe) c'est ici.
Dans le cadre des préparatifs du 13è festival du mot, j'étais la semaine dernière à La Charité pour mener un projet de longue haleine qui m'a été confié : l'une des plus longue phrase de Marcel Proust — et de la littérature française — à inscrire sur le trottoir de la Grande Rue.
[Lien vers le festival du mot]
…Une phrase riche de quatre cent quatre vingt cinq mots… deux mille trois cent soixante cinq caractères ! commencée après l'orage, sous petites averses régulières, poursuivie un lendemain de grand soleil et "terminée" (au tiers de sa distance…) en compagnie de quelques bourrasques de vent.
…C'est vous dire que je n'avais pas imaginé que s'attaquer à "La Recherche" c'était aussi, ne pas oublier de compter sur "le Temps perdu"… savoir jongler avec les éléments, les passants qui passent, la vie chewing-gum et autres désagréments de trottoir… et quand, de surcroît, on s'appelle "Le Temps qui passe"… Ne dirait-on pas qu'il y a là comme une histoire d'arroseur arrosé(e) ?
La phrase donc, a été suspendue… puisque les jours imaginés n'auront pas suffit et que s'annonçait dans la foulée "La vie en Roses" en Touraine (voir ci-dessus); elle sera reprise et menée à son terme selon les volontés du ciel : la dernière semaine de juin ou la première semaine de juillet.
Au delà du labeur certain, il me tarde d'y revenir… les mots me poursuivent la nuit où je continue à les assembler… C'est qu'il s'agit là d'une sacrée expérience pour le moins inédite, riche en enseignements de toutes sortes.
Après deux journées de décantation et déambulations solitaires et solaires à travers la beauté des paysages de la Creuse — faisant suite aux riches tourbillons des tables rondes autour des œuvres littéraires de Svetlana Alexievitch et d'Arno Bertina — me voici de retour à l'atelier.
J'ai en main le livre des rencontres précédentes où quelques uns de mes dessins ont rejoint "le chemin de fer" de la toute fraîche publication :
Pour la petite histoire commencée l'an dernier : Ariane Damain Vergallo, réalisateur/metteur en Scène, était — apparemment — sur mon chemin, lors des 11ème Rencontres où nos regards se sont associés.
Ces dessins, que j'avais fait sans mission aucune, sont d'abord devenus partie prenante d'un film réalisé par Ariane (il présente le fruit du beau travail mené — depuis plus de dix ans maintenant — par Hugues Bachelot et Pierre Michon, pour qu'existe, en Creuse, ces rencontres littéraires). Voici le lien vers ce film qui retrace les Rencontres 2016.
Ariane, qui a joliment joué sur ce qui l'appelait dans mes notes (image ci-dessous), ses résonances à elle m'avait-elle dit. Écho d'échos… puisque ces notes sont la retranscription même de mon écoute.
Pour voir le film d'Ariane concernant mon carnet.
Et pendant ce temps là, Benoît Debecker s'est occupé des casiers du club privé de la magnifique boutique du Boulevard Magenta. Le club est installé à l'étage, on y accède par un escalier en colimaçon de toute beauté pour l'enchantement d'un bon temps ["prohibé"]… retrouvé !!! Chaque fumeur dispose d'un casier en laiton, son prénom (ou surnom) est porté sur l'illustration originale.
En savoir plus sur la Pipe du Nord
Nicolas Stoufflet a posté un diaporama avec l'ensemble des illustrations de Benoît sur son blog "Pipe gazette" : cliquez ici
ou ici (You Tube)
C'était vendredi 18 novembre 2016, au musée Tomi Ungerer de Strasbourg, une superbe exposition organisée par Thérèse Willer et François Vié, selon les thématiques qui traversent l'œuvre de l'auteur, et les échos proposés par les dessinateurs.
Des quelques quatre vingt cinq dessinateurs ayant contribué à l'hommage, une bonne cinquantaine d'entre eux était au rendez-vous ce jour (et soir) là.
L'ambiance fût très chaleureuse, envie de dire : confraternelle. La prise de parole de Tomi Ungerer fût fine, sans compromission ni "arrogance", à l'image des grands ; très émouvante aussi, notamment à l'évocation de l'œuvre de son ami André François, anéantie par les flammes… alors que lui, fi des honneurs de toutes sortes, le voilà "souverain malgré-lui", avec un musée de son vivant. Un "Tomi" — de son propre aveu — subjugué par l'intensité du moment. Un recueillement était palpable dans cette assemblée de talents, l'hommage : vibrant.
Un moment phare d'une précieuse beauté que nous ne sommes pas prêts d'oublier.
Pascale Evrard et Benoît Debecker
Le Temps qui passe était mi-novembre à Morlaix, au salon des Multiples.
J'y ai présenté notamment le travail que je mène depuis cet été, autour de l’apprentissage de la lithographie.
Le dimanche, au petit déjeuner, j'ai eu le plaisir de découvrir un article de Tiphaine Le Berre, dans France-Ouest. Il est juste qu'elle était passée la veille devant mon stand et m'avait longuement questionnée… je m'étais prêtée au jeu sans imaginer que je serai dans le journal le lendemain !
Pascale Evrard
extrait Feuillets d'Opale [page 21]
extrait Crocodile Obsession [page 37]
Héros et rose Rimbaud
et Héros romantique.
Deux images de Pascale Evrard ont été tirées en cartes postales (extraites de l'affiche, ci-contre) et sont disponibles à l'échoppe (ainsi que l'affiche).